L'agence livrera dans les prochains jours un rapport sur le volume d'offres d'emploi non pourvues. Il y a deux ans, elles étaient au nombre de 200 000. Il faut s'attendre à une hausse de ce chiffre, prévient Jean Bassières, le directeur général de Pôle Emploi, au micro de RTL. Cette étude va présenter une hausse des offres d'emploi non pourvues, « mais on reste dans des volumes qui sont de quelques centaines de milliers d'offres », précise-t-il. Selon lui, la raison pour laquelle tant d'offres ne sont pas pourvues tient en un mot mot : la croissance.
La reprise économique fait grimper les carnets de commandes des entreprises qui, en retour, ont besoin d'effectifs pour combler leurs besoins. « Le volume des offres déposées par les entreprises à Pôle emploi ou sur tous les sites partenaires publics ou privés sont en augmentation ». Seul hic : les employeurs ne trouvent pas forcément les bonnes personnes. « On note aujourd'hui une préoccupation forte des entreprises sur la difficulté à recruter, parce qu'il n'y a pas forcément les compétences qu'elles cherchent », explique-t-il.
Celui qui est directeur général de Pôle Emploi depuis 2011 se réjouit aussi de voir que l'image de l'agence s'est arrangée, même s'il n'est pas dupe : « On a amélioré l'image de Pôle emploi mais je note qu'on est encore soumis à beaucoup de critiques ». Les résultats s'améliorent, notamment en termes de satisfaction souligne-t-il. « Les entreprises apprécient le fait que nous leur proposions des conseillers dédiés et les demandeurs d'emploi apprécient la personnalisation ». D'après son décompte, trois quart des entreprises et des demandeurs d'emploi se disent satisfaits des services de Pôle Emploi.
La reprise économique fait grimper les carnets de commandes des entreprises qui, en retour, ont besoin d'effectifs pour combler leurs besoins. « Le volume des offres déposées par les entreprises à Pôle emploi ou sur tous les sites partenaires publics ou privés sont en augmentation ». Seul hic : les employeurs ne trouvent pas forcément les bonnes personnes. « On note aujourd'hui une préoccupation forte des entreprises sur la difficulté à recruter, parce qu'il n'y a pas forcément les compétences qu'elles cherchent », explique-t-il.
Celui qui est directeur général de Pôle Emploi depuis 2011 se réjouit aussi de voir que l'image de l'agence s'est arrangée, même s'il n'est pas dupe : « On a amélioré l'image de Pôle emploi mais je note qu'on est encore soumis à beaucoup de critiques ». Les résultats s'améliorent, notamment en termes de satisfaction souligne-t-il. « Les entreprises apprécient le fait que nous leur proposions des conseillers dédiés et les demandeurs d'emploi apprécient la personnalisation ». D'après son décompte, trois quart des entreprises et des demandeurs d'emploi se disent satisfaits des services de Pôle Emploi.